L’Ecole nationale des régies financières (ENAREF), le Centre de recherche panafricain en management pour le développement (CERPAMAD) et l’Université francophone Senghor d’Alexandrie font le point de leur partenariat. En effet, les premiers responsables de l’ENAREF et des représentants de ces deux instituions ont échangé, le mercredi 28 avril 2021, au sein de l’école.
Le Programme de master en audit et contrôle de gestion basé sur le risque dans le secteur public a été au cœur des échanges. La rencontre a ainsi permis aux partenaires de dresser le bilan de leurs activités, de proposer des solutions et d’aborder d’autres sujets en divers.
Après avoir souhaité la bienvenue à la délégation, le Directeur général de l’ENAREF, M. Adama BADOLO a laissé entendre que la concertation était nécessaire. A écouter le Directeur général, il faut faire le bilan et dynamiser ce partenariat.
Séance tenante, le Secrétaire permanent du CERPAMAD, M. Zakaria OUEDRAOGO a dressé le bilan des activités. Les résultats académiques des différentes promotions, et les aspects financiers, entre autres, ont été exposés. Il est ressorti de sa présentation que quelques étudiants n’ont toujours pas soutenu leurs mémoires. La difficulté de recouvrement des factures de certaines cohortes a été posée.
Le représentant de l’Université francophone Senghor d’Alexandrie, Dr Martin YELKOUNI a indiqué qu’il faut être assez pragmatique. « Car, nous avons affaire à des professionnels », a-t-il souligné.
Pour sa part, le Président du conseil d’administration du CERPAMAD, M. Souleymane SERE pense qu’il faut trouver une stratégie pour les étudiants.
Au cours de la réunion, les partenaires ont décidé de donner une seconde chance aux étudiants qui n’ont pas encore soutenu. En effet, le point va être fait aux structures qui ont inscrit ces candidats. En plus, un délai va être fixé, afin de leur permettre de présenter leur travail. Quant à la promotion actuelle, deux sessions vont être programmées afin qu’ils puissent soutenir leurs mémoires de fin de formation.
Aussi, les différents partenaires ont décidé de se rencontrer une fois par trimestre. Un projet de relecture des programmes est également en perspective.
